Découvre Maîtresse Corinne
La Dominatrice
- Expérience vécue
Quand
maîtresse Corinne franchit le seuil de ce qu’il était convenu
d’appeler un donjon, elle sentit son cœur se serrer d’une angoisse
diffuse qui lui coupa un bref instant le souffle.
Si
souvent elle était allée dans des clubs libertins et s’était offerte
sans gêne particulière et même, il fallait bien le reconnaître, avec
délectation à de parfaits inconnus, c’était la première fois qu’elle
franchissait le seuil d’un tel lieu.
Elle essaya de se raisonner.
Après tout, personne ne l’avait obligée à venir ou à faire quoi que ce soit qu’elle ne désire pas.
C’est
en toute connaissance de cause et après en avoir longuement discuté
entre eux, qu’elle avait accepté d’accompagner monsieur x.
Mais là soudain, elle sentait sa détermination flancher…
Fantasmer
sur une chose et la vivre réellement, il y a souvent entre les deux un
pas énorme qu’il est parfois difficile de franchir...
monsieur x parut ressentir l’appréhension de sa compagne.
Il se colla dans son dos lui insufflant sa chaleur et lui souffla doucement dans le creux de l’oreille :
— Si tu préfères, on peut partir. C’est toi qui décides ma douce blonde….
maîtresse Corinne tourna légèrement son visage et plongea ses yeux dans ceux de son Maître.
Ce qu’elle y lut, mélange d’autorité et de tendresse, la raffermit dans sa décision.
Non,
vraiment elle ne pouvait pas reculer. Pour lui, comme pour elle,
impossible de faire marche arrière, de ne pas affronter et surmonter ce
nouveau défi. Aussi, elle lui répondit en souriant :
— Non, ça ira. On y va…
— Sûr ?
— Certaine, affirma—t—elle d’une voix qu’elle fit en sorte de rendre assurée.
— Tu n’es obligée à rien tu le sais, lui. Je veux dire qu’on peut simplement être spectateurs. Ne rien faire...
—
Je sais…. Mais ça m’étonnerait qu’on ne fasse rien…, lui
rétorqua—t—elle avec dans les yeux cette lueur, annonciatrice d’abandon à
venir, qu’il connaissait bien mais qui, à chaque fois qu’elle
s’allumait, l’électrisait.
maîtresse Corinne était ainsi faite.
A
la fois pétrie d’incertitudes et de craintes mais aussi de
détermination et, surtout, d’une volonté farouche de se dépasser, et, si
ce n’est atteindre, au moins frôler ses limites, voulant savoir
jusqu’où elle pourrait aller.
C’est
cela, qui leur ouvrait un éventail de possibilités quasi infinies et
qu’il n’avait trouvé dans aucune autre femme avant elle, qui lui
plaisait tant en maîtresse Corinne.
— D’accord alors on y va. Mais n’oublie pas le mot, lui rappela—t—il cependant.
— Non, promis je me rappellerai… Mais toi non plus ne l’oublie pas… Tu sais bien que…..
Elle
s’interrompit soudain apeurée par la force du désir qu’elle sentait
brusquement gronder en elle à la seule évocation de ce qui pouvait se
passer et qui, comme son angoisse déjà passée, lui coupa le souffle
alors que son cœur se mettait soudain à battre plus fort.
— Je n’oublierai pas, la rassura monsieur x . Allez, ma chienne. En avant...
Un
moment ils déambulèrent dans ce lieu étrange, parcimonieusement éclairé
par quelques appliques judicieusement disposées sur les murs sombres,
dédié à des plaisirs non moins étranges mais oh ! combien troublants et
envoûtants.
L’ambiance
feutrée qui y régnait, baignée d’une discrète musique au rythme
syncopé, était seulement troublée par des gémissements, le claquement
sec de lanières frappant la chair ou encore par des ordres brefs mais
sans ambiguïtés lancés par une voix autoritaire qui faisaient
tressaillir maîtresse Corinne.
Si
monsieur x avait conservé son pantalon de lin noir ainsi que sa
chemise tout aussi noire, maîtresse Corinne, en revanche, s’était défait
de ses vêtements.
Elle
était maintenant seulement revêtue d’une simple lanière de cuir rouge
qui s’entremêlait en méandres savants sur son corps mettant en valeur
ses formes pleines et épanouies, et encerclait ses seins opulents les
faisant s’ériger fièrement.
Ses
tétons ainsi que ses lèvres vaginales étaient ornés d’anneaux auxquels
monsieur x avait suspendu, comme il aimait le faire, des poids.
A
peine 30 g. maîtresse Corinne qui était habituée à beaucoup plus lourd
(monsieur x n’avait—il pas suspendu un jour à chacune de ses lèvres
400g les distendant impitoyablement pendant de longues minutes) trouvait
la charge légère certes mais étonnamment présente.
monsieur
x avait enserré son cou d’un large collier de cuir également rouge et
il tenait fermement dans sa main droite la laisse qu’il y avait
accrochée. Ils allèrent ainsi d’une pièce à l’autre, lui devant, elle le
suivant, observant en silence les ébats qui s’y pratiquaient.
Ils
restèrent un long moment fascinés par le spectacle d’une soumise que
son Maître avait suspendue dans les airs par de larges courroies
solidement fixées au plafond et dont le corps ballottait au rythme des
coups de fouet dont il la cinglait durement sans que le moindre cri
n’échappe de ses lèvres resserrées.
Un
projecteur était braqué sur la soumise l’enveloppant d’une lumière crue
qui donnait à la scène un aspect irréel et, surtout, ne cachait rien
des stries pourpres qui zébraient uniformément son corps en un treillage
de plus en plus serré.
Plus
loin, c’était un soumis qui avait été disposé poignets et tête
emprisonnés dans un pilori en bois et les chevilles, largement écartées
l’une de l’autre, immobilisées par des bracelets d’aciers reliés à des
crochets scellés au sol.
Alors
qu’une Dominatrice besognait durement son cul d’un gold d’un diamètre
épouvantablement épais sembla—t—il à maîtresse Corinne, qu’elle avait
accroché autour de sa taille, un homme avait enfoncé son sexe dans la
bouche du soumis maintenue grande ouverte par un mors et se branlait
vigoureusement entre ses lèvres.
A
peine eut—il déchargé son foutre dans la bouche offerte et s’était—il
éloigné, que la Dominatrice d’un signe de tête marqua son accord pour
qu’un autre vienne le remplacer.
maîtresse
Corinne frémit en voyant l’homme engouffrer son sexe déjà tendu par une
belle érection dans la bouche, encore dégoulinante du sperme de son
précédent occupant, du soumis qui n’émit pourtant aucun signe de refus.
Au
contraire, il sembla à maîtresse Corinne, que le soumis amplifiait à
dessein le balancement d’avant en arrière de son bassin comme s’il
voulait que la Dominatrice qui le sodomisait s’enfonce encore plus loin
dans ses entrailles.
Ailleurs,
une autre soumise pieds et mains liés sur une table gynécologique un
double gold enfoncé dans son cul et dans son vagin, voyait son corps se
couvrir de cire chaude.
Déjà, ses mamelons disparaissaient sous une couche épaisse de cire solidifiée.
Un
cri déchirant, qui vrilla les oreilles de maîtresse Corinne, lui
échappa quand son Maître entreprit de faire couler la cire brûlante
entre ses lèvres et, qu’à son tour, le clitoris commença à disparaître
sous une gangue ardente.
Plus
loin encore, une soumise et un soumis, tous deux intégralement nus,
étaient agenouillés à quatre pattes face contre face et reliés entre eux
par un double gold enfoncé dans leur bouche, devant un canapé où
s’étaient installés pour deviser, tout en sirotant un verre, un Maître
et une Maîtresse.
La soumise avait également un gold profondément enfoncé dans le cul qui la distendait outrageusement.
En s’approchant maîtresse Corinne vit que celui—ci était relié par un fil à un boitier que la Maîtresse tenait en main.
Aux
yeux exorbités de la soumise, maîtresse Corinne comprit que la
Maîtresse prenait un malin plaisir à actionner à intervalle régulier le
gold vibrant afin de maintenir sa soumise dans un état d’excitation
permanente mais aussi dans l’impossibilité totale, quel que soit son
désir, de jouir sauf à faire voler en l’air les verres et bouteilles que
les deux convives avaient disposés sur son dos.
Quant au soumis, une tige épaisse, dont l’extrémité extérieure servait de cendrier au Maître, était enfoncée entre ses fesses.
Maîtresse
Corinne était à la fois horrifiée et subjuguée par le spectacle qui
s’offrait à elle qui était bien tel qu’elle l’avait imaginé dans ses
fantasmes mais dont la réalité brutale l’agressait plus qu’elle n’aurait
pensé.
Elle
aurait voulu pouvoir échapper à ces visions à la fois choquantes et
captivantes et, en même temps, malgré son trouble, elle sentait monter
en elle une excitation sans ambiguïté.
Non, songea—t—elle, non jamais elle ne pourrait supporter cela.
S’exhiber de la sorte.
Etre traitée de la sorte.
Subir sous le regard impavide des Maîtres et Maîtresses présents une telle humiliation.
Non
jamais ! monsieur x sentit, la tension qui l’habitait soudain.
Tendrement, il l’entraina en direction du bar où il la fit s’assoir sur
un pouf avant de prendre place, lui, dans un profond fauteuil.
Un moment, ils gardèrent le silence.
— Ca va ? finit par lui demander monsieur x .
— Oui… ça va… lui répondit—elle d’une voix dont elle ne put malgré tous ses efforts réprimer le tremblement.
— Tu veux boire quelque chose ?
— Oui, je veux bien…. Un petit whisky ne serait pas superflu
— C’est vrai.
D’un geste, il fit signe à un serveur qui leur servit prestement les verres réclamés.
— Alors on continue ??? reprit monsieur x d’une voix douce
— Et bien….
maîtresse
Corinne eut un moment d’hésitation et s’interrompit faisant tourner
entre ses mains tremblantes son verre qu’elle fixa d’un regard absent.
Une
part d’elle—même lui disait qu’il aurait mieux valu qu’ils partent,
mais une part, et non la moindre, lui disait au contraire que oui elle
avait aimé cela et qu’il était hors de question qu’ils s’arrêtent là,
juste au seuil.
monsieur
x comprit le sens son hésitation, il la connaissait si bien et savait
si bien jouer sur les ressorts qui la ferait réagir. Aussi, sans
préambule, il lui asséna d’une voix soudain dure et froide d’où toute
tendresse avait disparu :
— J’espère que tu ne va pas me décevoir sale chienne…
— Non, bien sûr, mon Maître… mais…, lui répondit maîtresse Corinne tout en lui jetant un regard éploré.
— Mais tu ne t’en sens pas capable, la coupa—t—il brutalement. C’est ça ? Tu me déçois beaucoup…
— Non... c’est pas ça mon maître... tu sais bien. Mais... c’est... tellement...
— Tellement quoi...... Dégradant ? Pas digne de toi ? Tu te prends pour quoi ?
— Maître, je t’en prie…, lança—t—elle d’une voix suppliante
—
Tu me pries de quoi… de te dire que tu n’es qu’une sale chienne
désobéissante incapable de satisfaire son Maître ? lui rétorqua—t—il.
— Non… je… c’est pas ça…
— C’est quoi alors… tu as peur ?
— Non….
— Alors quoi ?....
— Je sais pas…. Je.. ne peux pas....
— Écarte tes cuisses !, lui ordonna—t—il brutalement, que je me rende compte de ton état.
De nouveau maîtresse Corinne le regarda suppliante, les joues rougies d’émotions contradictoires.
— Écarte !, j’ai dit, réitéra –t—il d’un ton sans réplique.
Subjuguée, maîtresse Corinne écarta docilement ses jambes et laissa son Maître tâter sans ménagement son entre—jambes
—
C’est bien ce que je pensais... tu coules comme une chienne en chaleur,
souffla—t—il d’un ton méprisant... et tu oses jouer les mijaurées.
— Mon Maître, je t’en prie....
— Ose me dire que ce que tu viens de voir ne t’a pas excitée...
— C’est pas ça... c’est seulement que... tenta—t—elle de se justifier
— Avoue que ça t’a excitée ? la coupa—t—il. Je veux te l’entendre dire !
— Oui mon Maître, ça m’a plu bien sûr... tu le sais bien...
— Oui je sais que tu n’es qu’une chienne en chaleur qui a envie d’être prise
— Oui mon maître, j’ai envie oui, finit par avouer maîtresse Corinne dans un soupir accablé devant l’évidence de son désir.
— Tu as envie de quoi exactement ? Je veux que tu me le dises.
— Que tu me prennes ... que tu m’encules... que tu me fouettes....et........ qu’on me regarde...
— Bien... je préfère ça
— Tu le savais mon Maître...
— Oui je le savais mais ça me plaît de te l’entendre dire. Alors on reste et on continue ?
C’était plus une affirmation qu’une véritable question mais maîtresse Corinne se sentit obligée de répondre :
— On reste…. oui
— Tu sais ce que ça signifie... ce qu’on a décidé...
— Oui mon Maître mais c’est ce que je veux. A toi, de décider.
— Bien. Je suis fier de toi ma chienne. Debout et suis—moi. On va leur montrer de quoi tu es capable...
Expériences vécu, maîtresse Corinne à l’envers pour comprendre s’est soumise.
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